FORM DES AS titre en grosse manchette que la CENCO et l’ECC s’en remettent ç l’arbitrage du chef de l’Etat. Selon le quotidien de Limete, les violons ne s’accordent toujours pas entre les confessions religieuses appelées à trouver un consensus sur la personne devant présider à la tête de la Commission nationale électorale indépendante (Ceni).
Et le journal de poursuivre, un délai de 72 heures leur accordé par le président de l’Assemblée expire ce jour et rien n’a filtré de la convocation hier mercredi 18 août, de la réunion de la plénière de cette plateforme, à la Cime, par les six confessions, autres que les églises catholique et protestante.
LA PROSPERITE s’exclame que chez les Confessions religieuses, le blocage persiste ! Aux dernières nouvelles et selon des bribes d’informations glanées auprès des politiciens et des chroniqueurs, les Confessions religieuses constituées essentiellement de huit églises de réveil, au total, seraient dans l’impossibilité d’accorder les violons.
Pour le quotidien de Mont-Fleury, six contre deux, vote contre consensus, démocratie contre veto, majorité contre minorité, tels sont des bouts de phrases qui, apparemment risquent d’atomiser toutes les chances consistant à dégager un minimum de compromis autour de celui qui pourrait, après que ce choix-là ait coûté suffisamment des sueurs au front, présidera à la destinée du processus électoral à l’horizon 2023.
L’AVENIR émet un regret que les efforts de Mboso sont bafoués. Selon le quotidien de l’avenue Bas-Congo, les chefs des Confessions religieuses ne parviennent pas à dégager le consensus tant recherché dans le cadre de la désignation du futur président de la Commission Nationale Electorale Indépendante, CENI.
Depuis samedi 14 août, un moratoire de 72 heures était accordé aux leaders religieux. Ayant constaté l’expiration de ce délai sans rien faire, écrit L’AVENIR, le président de la plateforme, Marcel Utembi, a sollicité une prolongation mardi, qu’il a même obtenu sur place pour 48 heures.
L’AVENIR précise en outre que cette dernière qui expire aujourd’hui, sans que les chefs des confessions religieuses dans leur ensemble ne se réunissent. Seuls les six autres pasteurs qui craignent de se réunir au Centre interdiocésain, se sont retrouvés à deux reprises, mardi et mercredi, au siège de la Commission d’Intégrité et Médiation Electorale (CIME).
Raymond Okeseleke / digitalcongo.net