A en croire les témoins de l’événement, l’infortunée a profité de l’absence de son mari, répondant au nom de Mulolo Jean Pierre, qu’elle partageait avec tant d’autres coépouses, pour se pendre.

La défunte a été contrainte d'épouser cet opérateur économique faute de moyens, pour sa famille, de rembourser la dot déjà perçue pour leur première fille en cavale. Elle a été alors obligée d’occuper le toit conjugal laissé par sa sœur.

Les organisations de la société civile haussent le ton pour exiger à ce que justice soit faite pour cette jeune fille qui a été portée en terre le jeudi 9 février 2023.

Cathy Ibandula / digitalcongo.net