Le 7ème art congolais est honoré par la sortie d’un nouveau film intitulé «Cocaïne Light» dont la première diffusion publique a eu lieu à la grande satisfaction des cinéphiles, à la Halle de la Gombe, à Kinshasa. «Cocaïne Light» a mis ensemble trois producteurs.

Patrick Kuba s’est associé à Patrick Ken Kalala et Didace Kawang. À ce dernier d’expliquer : «Cocaïne Light est une expérience que nous avons tentée en partant de nos apports personnels. Ma contribution a été matérielle notamment, les caméras.

A la fin, cela a abouti à un long métrage, peu importe le temps que cela a duré». Ici, Didace Kawang a fait allusion aux deux ans qu’a duré la postproduction du film, période que certains ont jugé bien longue.

À Patrick Ken Kalala d’insister pour sa part que «Cocaïne Light est le tout premier long métrage 100% congolais». Et d’ajouter : « C’est un film qui a été fait avec le cœur». Membre de l’équipe de coproduction, il s’est réjoui du travail accompli par « une équipe mixte et a abordé plusieurs points de vue ».

De l’aperçu qu’il a livré de cette réalisation de près de deux heures, il est à retenir que « Cocaïne Light est un thriller où il est question de vengeance et d’escroquerie » et dont l’histoire gravite autour de cinq personnages.

À Jimmy Tissanabo de prévenir que comme il est habituel dans un thriller, il y a du sang et du sexe dans le film d’action qui est interdit aux moins de 12 ans. Et de renchérir : « Cocaïne Light est un cocktail qui regroupe toutes les grosses pointures artistiques et du cinéma congolais ».

Savoir ici que le chanteur Papa Wemba et l’acteur Romain Ndomba, lequel s’est illustré comme l’un des personnages importants de Viva Riva, apparaissent aussi dans le long métrage.

Du reste, pour ce qui est de la réalisation et de la production, Jimmy Tissanabo a fait savoir que« Cocaïne Light est une première dans l’élan, la volonté et la détermination à le faire. Nous avons tous été dedans et mis tout pour que ce film puisse aboutir».

Avec JD/La Prospérité