Vendredi  14 mars 2025 09:57
Connexion

Connexion à votre compte

Identifiant
Mot de passe
Maintenir la connexion active sur ce site

POLITIQUE

L'actualité Politique de la semaine en RDC

La Cour constitutionnelle avait fixé le tirage au sort pour remplacer trois des neuf membres juges qui la composent pour lundi 9 avril. Une opération qui devait avoir lieu cinq jours plus tôt, conformément à la constitution qui prévoit le renouvellement du tiers de ses membres trois ans après son installation.

Mais ce tirage au sort n’a pas eu lieu à la Cour constitutionnelle, constate Actualité.cd. Et pour cause : deux juges, Jean Louis Esambo Kangashe et Eugène Banyaku Luape Epotu ont démissionné pendant les discussions. Aucune explication n’a été fournie à ce propos. Ces deux juges relèvent du quota du Parlement et du Conseil Supérieur de la Magistrature.
 
Deux démissionnent, un autre, Yvon Kalonda, est décédé dimanche 8 avril, renchérit Dépêche.cd.

Mais ce décès et ces démissions ne peuvent pas arrêter le processus de remplacement des trois membres de la cour, et cela devra toujours se faire par tirage au sort, poursuit le média.
 
A propos de ces démissions, Le Potentiel s’interroge : «Mais qu’est-ce qui s’est passé ?» Même si dans leurs lettres de démission, les deux juges évoquent « des raisons personnelles », le journal fait parler d’autres sources qui rapportent que les deux professeurs, «pressentaient déjà leur défenestration de la Cour par une procédure de tirage au sort truqué à l’avance».

Le quotidien s’explique : « En réalité, depuis l’arrêt controversé de la Cour constitutionnelle autour de l’article 70 de la Constitution qui délimite le mandat du président de la République, la Cour constitutionnelle s’est fissurée, créant de profondes divisions entre ses membres. Les professeurs Vunduawe, Esambo et Banyaku sont depuis lors inscrits dans le viseur de la majorité au pouvoir qui n’attendait que le moment propice pour leur régler des comptes».
 

Kinshasatimes.cd s’intéresse aux conséquences de ces démissions et pense que Jean-Louis Esambo et Eugène Banyaku l’ont fait pour «paralyser le tirage au sort». Ce média fonde son analyse sur l’article 90 de la loi portant organisation et fonctionnement de la Cour constitutionnelle qui stipule qu’elle ne peut «siéger et délibérer valablement qu’en présence de tous ses membres, sauf empêchement temporaire de deux d’entre eux au plus dûment constaté par les autres membres».
 
Le site d’informations en ligne fait parler un avocat du barreau de Kinshasa, Me Guylain Duga. Il interprète cette situation en ces termes : « le tirage vise à remplacer 3 membres de la Cour dont un de chaque bloc. Comme par coïncidence, chaque bloc a perdu un de ses membres. Mais le tirage n’est pas automatique amenant les 6 juges restant à constater l’absence de leurs collègues. Selon la loi, les juges doivent être au complet donc à 9 pour procéder au tirage au sort. Dans le cas d’espèce, chacun de 3 blocs doit d’abord nommer un juge perdu pour que le quorum soit atteint. Mais cela ne résout pas le problème parce que ce cas, est un peu un cas d’école, un cas atypique. La loi prévoit le tirage au sort après chaque trois ans. Or les juges qui seront remplacés n’auront pas atteints dès leur nomination la durée de 3 ans requise pour le tirage au sort. La Cour constitutionnelle ne pourra par conséquent procéder à son premier tirage au sort qu’après 6 ans au lieu de 3 ans comme le prévoit la loi. C’est une question qu’il faut encore étudier».
 
MONUSCO
 
Retrait de la MOUSCO d’ici 2020 sur demande du gouvernement congolais, Cas-info.ca relaie l’interview de la patronne de la Mission onusienne en RDC, Leila Zerrougui, au journal Le Monde. Elle assure que la MONUSCO n’avait pas vocation à rester éternellement en RDC.
 
« La MONUSCO n’a pas son mot à dire et n’a pas vocation à rester éternellement en RDC. Elle exécute la volonté du Conseil de sécurité des Nations unies, avec lequel le gouvernement congolais peut discuter s’il le souhaite. La relation avec les autorités est parfois difficile. Mais je préfère des tensions, qui me semblent normales dans un contexte politique préélectoral, à une absence de réaction du pouvoir. Cela démontre à mon sens que le gouvernement veut prendre sa place, est déterminé à agir sans la MONUSCO. Ce qui peut être une bonne chose », a expliqué M. Leila Zerrougui.

 

Avec Radio Okapi
 

 

Ecrire un commentaire (0 Commentaires)

En dépit de la polémique sur sa double nationalité alimentée par certains caciques de la Majorité pour l’éliminer de la course, Moïse Katumbi ne capitule  pas, constate Le Phare qui annonce que l’ex-gouverneur de l’ancienne province du Katanga continue à croire à son rêve  de devenir le cinquième président de la RDC, à l’issue du scrutin prévu le 23 décembre 2018.
 
Pour se mettre en ordre de bataille de cette compétition électorale, Moïse Katumbi vient de procéder à la nomination des animateurs de sa méga plateforme électorale née en Afrique du Sud à savoir «Ensemble».
Ainsi, Pierre Lumbi a été nommé au poste de vice-président tandis que Delly Sessanga a été confirmé Secrétaire général. Le président de l’AR et de l’Envol sera pratiquement, la plaque tournante de la méga-plateforme pro Katumbi, analyse le quotidien, qui ajoute que Sessanga sera secondé par des secrétaires généraux adjoints notamment, Jean Bertrand Ewanga et Christian Mwando.
 
Actualité.cd qualifie pour sa part Pierre Lumbi, de bras droit de Katumbi, le présentant comme le personnage-clé du dispositif électoral de l’ex-gouverneur. Lumbi connaît les arcanes de la politique congolaise. Ancien membre influent de la société civile, l’homme a fait ses preuves sur le terrain électoral avec le Mouvement social pour le renouveau (MSR). Ancien proche de Joseph Kabila, il était parmi les principaux acteurs du rapprochement économique du pouvoir de Kinshasa avec la Chine. Plusieurs fois ministres, il était parmi les membres du gouvernement ayant quitté Joseph Kabila pour fonder le G7, rappelle le média en ligne.
 
Avec des personnalités saillantes de tous bords, Moïse Katumbi veut quadriller le territoire électoral du pays, fait remarquer Cas-info.ca. D’où le découpage du territoire national en 12 régions politiques. 12 régions, autrement dit, 12 représentants d’au moins chaque coin du pays. Le journal cite entre autres Kyungu au Katanga, Boris Mbuku, grande gueule d’Idiofa, qui portera la voix du candidat au Bandundu. Il en est ainsi de Claudel Lubaya. L’élu de Kananga sera le porte étendard au Kasaï Central. Alors que Richard Kana Kanyinda sera chargé du Kasaï-Oriental. Jean-Claude Vuemba (Kongo-Central), Norbert Ezadri (Ituri) ou encore Jean Claude Kabala (Sud Kivu) complètent cette liste marquée également par la présence symbolique de Franck Diongo, scrute le média.
 
Alors que Moise Katumbi se prépare aux élections, il devrait plutôt être le grand absent à la Présidentielle du 23 décembre 2018 après des révélations de sa nationalité italienne détenue durant plus de 16 ans, indique Politico.cd, qui estime que «les faits, désormais confirmés, ont pourtant bénéficié d’une orchestration du pouvoir congolais. S’il n’a pas la nationalité congolaise, Moïse Katumbi ne pourrait être candidat à la prochaine présidentielle, parce qu’en RDC, le droit ne reconnaît pas la double nationalité. C’est donc une disqualification régulière, conclut Politico.cd qui reste convaincu que Kabila a «légalement» écarté Katumbi de la course au pouvoir.
 
La Prospérité annonce pour sa part que la Commission électorale nationale indépendante (CENI) déposera la Loi portant répartition des sièges ce lundi auprès du Premier ministre. Avec ce projet de loi, le quotidien fait savoir que «plus rien alors, ne va faire grésiller la machine. Donc, le  calendrier sera respecté. La machine à voter sera utilisée. Ainsi, tous les acteurs politiques sont-ils  appelés à s’y préparer, dès maintenant».
 
Machine à voter ? Le Potentiel révèle : «Le non catégorique du CLC.» Le Comité laïc de coordination demande vivement à la centrale électorale d’écarter cette option pour lever le doute sur la transparence des élections à venir. Il estime que la CENI n’est plus un partenaire crédible pour des élections apaisées.

Il prend pour preuve « le non respect de son propre calendrier des grandes dates à retenir, par l’absence de publication, le 26 mars 2018, de la liste des regroupements des partis politiques devant participer aux élections».

Avec Radio Okapi

 
 
 

 

Ecrire un commentaire (0 Commentaires)

Kinshasa a décidé de voguer à contre-courant de la volonté exprimée par les Nations unies dans la résolution 2409 du Conseil de sécurité, estime Le Potentiel dans sa parution de ce matin.

«Que des déclarations incendiaires, augurant d’une période préélectorale particulièrement agitée. Lundi, le PPRD s’est distingué par des attaques directes contre le président de «Ensemble pour le changement». Mardi, le chef de la diplomatie congolaise, a accusé l’Onu de vouloir prendre en otage la RDC. Kinshasa se radicalise et le ciel s’assombrit entre le gouvernement et l’Onu», écrit le quotidien.

Kinshasa refuse de se mettre dans la logique de la résolution 2409 de l’ONU considérant qu’elle «risque de barrer la route non seulement à son projet de conserver à tout prix le pouvoir mais surtout de favoriser l’inclusion dans la course à la présidentielle des candidats gênants, tel Moïse Katumbi», analyse le journal.

La RDC ne participera donc pas à la conférence humanitaire de Genève, prévue le 13 avril, tranche Léonard She Okitundu dont les propos sont relayés par Forum des As.Et dans une lettre adressée au secrétaire général de l’Onu, Antonio Guterres, Kinshasa dénonce le classement des systèmes des Nations Unies qui place la RDC au niveau le plus élevé dans l’échelle des besoins humanitaires (L3). Mais, l’ONG ACAJ qualifie ce refus de Kinshasa d’un crime contre l’humanité.

Autre sujet largement commenté dans la presse ce matin, c’est la polémique autour de l’utilisation de la machine à voter. Le Potentiel estime que cette question est devenue un calvaire pour la CÉNI. La sortie médiatique du rapporteur de cette institution d’appui à la démocratie, Jean-Pierre Kalamba, n’a naturellement rien apporté comme éclairage sur cette question, juge le quotidien. Dans sa réplique, le rapporteur de la CÉNI «s’est contenté de dire que la commission électorale a signé un contrat avec Miru Systems et que cela n’engageait pas l’Etat coréen».

A la suite de ces révélations de la Corée du Sud, la CENI condamne une campagne d’intoxication sur la machine à voter, rapporte pour sa part L’Avenir.

Quoique la CENI rassure, mais pour la Corée du Sud, la machine à voter reste un danger pour La Tempête des Tropiques qui relève que nombreux sont des compatriotes qui appellent la Commission électorale à renoncer à cet outil, qui n’a fait de preuves nulle part.

«UDPS: après l’élection de Félix Tshisekedi… les obsèques d’Etienne Tshisekedi », titre Le Phare sur un autre registre. C’est l’état de grâce ou presque pour l’UDPS (Union pour la démocratie et le progrès social), indique le journal, avant d’ajouter :

«Après sa victoire judiciaire face à la dissidence pilotée par Bruno Tshibala au niveau du Tribunal de paix de Matete, sa victoire politique face au même adversaire au niveau du CNSA (Conseil National de Suivi de l’Accord de la Saint Sylvestre (CNSA) et la brillante élection de Félix Tshisekedi à sa présidence, on reparle des obsèques d’Etienne Tshisekedi, décédé le 1er février 2017».

La famille d’Étienne Tshisekedi affirme avoir repris des discussions avec le gouvernement congolais pour organiser le rapatriement et les obsèques de feu le président de l’Udps, selon une information d’Actualite.cd reprise par Le Phare. Selon Mgr Gérard Mulumba, frère d’Etienne Tshisekedi, cité par le média en ligne, un accord entre la famille et le gouvernement de la RDC pourrait intervenir au courant de cette semaine. Mais du côté de l’UDPS, on ignore les tractations entre la famille et le pouvoir sur le retour de la dépouille du « sphinx » de Limete.

 

Avec Radio Okapi
 

 
 
 

 

Ecrire un commentaire (0 Commentaires)

Le « retrait définitif » de la MONUSCO en 2020, tel que souhaité par la RDC, et l'affaire de la machine à voter sont largement commentés par les journaux de Kinshasa.

Politico.cd estime que, 20 ans après le début d’une aventure de stabilisation d’un pays menacé de disparition au cœur de l’Afrique, l’ONU doit mettre un terme à sa présence au Congo, qui fait aujourd’hui face à des problèmes d’une autre envergure. A en croire ce media en ligne, la mission, dont le mandat est renouvelé à compte-goutte chaque année — adapté, rafistolé et réadapté —  n’arrive plus à faire face aux enjeux actuels.

A ce sujet, Le Potentiel titre: «La MP se dévoile : avec Kabila jusqu’en 2020». Le gouvernement congolais souhaite le départ de la MONUSCO, note le journal. Mais au-delà de l’exigence de ce départ de la MONUSCO, note le journal, la MP se dévoile : avec Kabila jusqu’en 2020, écrit le quotidien.

La famille politique du chef de l’Etat craint que les troupes onusiennes déjouent sa stratégie de maintenir au pouvoir son autorité morale, le président Joseph Kabila, estime le quotidien. En 2020, la majorité au pouvoir exige le départ définitif de la MONUSCO. Ce qui, pense-t-elle, ouvrira un boulevard en vue de consolider le siège présidentiel de Joseph Kabila.

Dans le feuilleton électoral, Forum des As observe une vive controverse autour de la machine à voter. En tout cas selon le journal, à théoriquement 8 mois des élections, la MP et l’Opposition sont invitées à lever une option consensuelle. Machine à voter ou imprimante pour rationaliser le vote ?, s’interroge le quotidien.

«Ici, il faut noter que la problématique est très loin de porter sur le concept. Néanmoins, à la CENI, tout comme dans l’opinion, on parle de la machine à voter. Ce qui, aux yeux du commun des mortels congolais, induit un vote électronique. Depuis, cet outil informatique se trouve au centre d’une très vive polémique qui n’en finit pas fait remarquer», le tabloïd.

Mais en attendant, les hommes politiques se préparent, annonce Le Potentiel. En effet, « bien positionné dans la course à la présidentielle de décembre 2018 », le Premier ministre honoraire Adolphe Muzito ratisse large pour se construire une stature de présidentiable. Important maillon de la société civile, selon le journal, c’est vers les églises que Muzito tend de plus en plus la main. Ainsi, après le cardinal Laurent Monsengwo, archevêque de Kinshasa, renchérit le journal, Adolphe Muzito est allé, hier, à la rencontre du chef de l’Eglise protestante, révérend Dr André Bokundoa. La nouvelle patronne de la Monusco, Leila Zerrougui, a été également dans l’agenda d’Adolphe Muzito, révèle quotidien.

Le Phare de son côté s’intéresse à la controverse sur le transfèrement des eaux de l’Ubangi vers le lac Tchad, faisant état de « graves accusations contre le Gouvernement » formulées mercredi lors de la  plénière de l’Assemblée nationale.

Les parlementaires se sont opposés à un « transfèrement à l’aveuglette », selon le quotidien, insistant sur la nécessité de prendre en compte les aspects socioéconomique, touristique, technique, et géopolitique de la RDC.

 

Avec Radio Okapi

 

 

Ecrire un commentaire (0 Commentaires)

L’ouverture du Congrès extraordinaire de l’UDPS, avec commune point principal à l’ordre du jour, l’élection du successeur d’Etienne Tshisekedi à la présidence du parti, intervient ce vendredi 30 mars 2018, indique Le Phare.
 
«Alors que toutes les conditions matérielles sont réunies pour sa tenue et que la liste des participants, environ 1000, a été rendue publique mardi, une citation directe, émise par le Tribunal de paix de Matete, a atterri sur la table du Secrétaire général Jean-Marc Kabund, qui est appelé à comparaître devant cette juridiction ce mercredi matin à 9 heures», poursuit le quotidien, précisant que le plaignant est «Dr Tharcisse Loseke, qui se dit président de l’UDPS/Tshibala». Il nie à Jean-Marc Kabund la qualité pour convoquer ce forum.
 
Selon Actualité.cd, par cette convocation de Kabund au Tribunal, l’UDPS affirme que Tshibala tient “coûte que coûte” à liquider le parti. La première audience pourrait se dérouler mercredi 28 mars 2018  devant le Tribunal de Grande Instance de Kinshasa/Matete, renchérit Le Phare.
 
«Comme dans un combat des fauves, la démarche de Loseke dévoile, ici, le début d’un long feuilleton judiciaire dont la finalité serait, plus tard, lors de la présentation des candidatures, d’éliminer Félix Tshisekedi et ses affidés de la course au pot aux roses», explique le quotidien dans un article intitulé: «Le torchon brûle à l’UDPS : Loseke traîne Jean-Marc Kabund en justice !»
 
D’autre part, 7sur7.cd, indique que la Centrale électorale de la MP rejette la paternité d’un document qui circule sur les réseaux sociaux, faisant état d’une préparation à la tricherie électorale, avec l’insertion par scannage, d’une liste d’une centaine de personnalités dans le serveur. Au cours d’une conférence de presse tenue mardi, à son siège, rapporte ce media en ligne, le CCE a démenti être l’auteur de ce document qu’il qualifie de «brûlot».
 
Selon Le Phare, la MP dénonce à ce sujet un coup monté et a décidé de rompre le silence pour apporter un éclairage sur cette la liste de présumés 170 députés, en circulation sur les réseaux sociaux, que son Centre de Coordination des Elections aurait transmise à la CENI pour être scannée dans le serveur afin d’assurer la victoire à ceux qui y sont repris.
 
Sur un autre registre, Forum des As annonce que «le Conseil de sécurité charge la MONUSCO d’aider à la préparation des élections de décembre 2018». La MONUSCO devra apporter une assistance technique et logistique pour soutenir le processus électoral. Pas seulement. Elle devra également appuyer la formation des policiers congolais dans la perspective de la sécurisation pour maintenir professionnellement l’ordre public le jour du vote, détaille le quotidien.
 
Aussi 7sur7.cd relève que le Conseil de sécurité des Nations Unies a prié, dans cette Résolution 2409 sur la RDC, le Secrétaire général de l’ONU de fournir un appui politique à la mise en œuvre de l’Accord de la Saint-Sylvestre, au rétablissement de la confiance entre les différentes parties et à la préparation des élections en usant de ses bons offices.
 
La Tempête des Tropiques observe cependant que ce texte a été adopté à l’unanimité contre la volonté de Kinshasa, qui voudrait que la MONUSCO soit plutôt axé sur la neutralisation de groupes armés.

 

Avec Radio Okapi

 

Ecrire un commentaire (0 Commentaires)

Info en Direct


search

À la une

Sept pêcheurs congolais de Kyavinyonge détenus dans des cachots ougandais.

Sept pêcheurs congolais de Kyavinyonge détenus dans des cachots ougandais.

Le Katanga premier cas d’école pour le découpage

Le Katanga premier cas d’école pour le découpage

Poursuite des opérations conjointes FARDC-MONUSCO en Ituri

Poursuite des opérations conjointes FARDC-MONUSCO en Ituri

Conflit dans l'est de la RDC: le médiateur angolais travaille à des «négociations directes» entre Kinshasa et le M23

Conflit dans l'est de la RDC: le médiateur angolais travaille à des «négociations directes» entre Kinshasa et le M23

Conflit dans l'est de la RDC: le point sur la situation sur les trois principaux fronts du Nord et du Sud-Kivu

Conflit dans l'est de la RDC: le point sur la situation sur les trois principaux fronts du Nord et du Sud-Kivu

La VSV préoccupée par la santé d'un ex-commandant tigre du Katanga détenu à l’ex-DEMIAP

La VSV préoccupée par la santé d'un ex-commandant tigre du Katanga détenu à l’ex-DEMIAP

PUBLICITÉ

  • RDC annonces
    RDC annonces
  • RDC emploi
    RDC emploi
  • RDC immo
    RDC immo

La revue de presse

31 January 2024
La Revue de Presse de ce 31 janvier 2024

Les crimes oubliés en RDC

Le Panafricaniste Kemi Seba parle du criminel Kagame et de la RDC

SUIVEZ-NOUS

Facebook
Twitter
Google plus
Youtube

RDCN sous tous les formats

Iphone,Ipad et Android

Copyright ©2014-2017 RDC Nouvelles | Membre du réseau RDC Médiacom | Site conçu et hébergé par RDC Netcom