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POLITIQUE

L'actualité Politique de la semaine en RDC

Les journaux parus mercredi 8 novembre à Kinshasa s’intéressent notamment aux déclarations de principaux partis politiques de l’opposition publiées mardi, en rapport avec le calendrier global des élections publié par la CENI.

D’après Le Potentiel, les principaux leaders de l’opposition qui ont préféré évoluer en ordre dispersé en faisant des déclarations chacun de leur côté, ont cependant condamné à l’unanimité le calendrier électoral présenté par la CENI.

 Le journal qui a scruté les différentes déclarations politiques publiées mardi par le MLC, l’UNC et le Rassemblement en rapport avec ce chronogramme, note que pour les trois principales formations politiques de l’opposition et leurs alliés, « ce calendrier viole à la fois la Constitution, l’Accord du 31 décembre 2016 et la loi électorale ».

Ces formations politiques estiment que le chronogramme de la CENI « n’est pas consensuel et revêt un caractère mensonger et frauduleux». Dans cette optique, elles appellent tous les Congolais à la vigilance et à la mobilisation en vue de libérer le processus électoral, d’ici le 31 décembre 2017, sur base de l’article 64 de la Constitution, rapporte le quotidien.

Forum des As s’intéresse particulièrement à la déclaration du Rassemblement/Limete publiée mardi et note que, pour ce regroupement politique, le calendrier électoral publié le dimanche 5 novembre par la CENI, « confirme une fois de plus, qu’avec la CENI et le président Joseph Kabila à la tête de l’Etat congolais, on ne saurait espérer l’organisation rapide des élections en vue de l’alternance au pouvoir en RDC ».
Ce regroupement, poursuit le journal, persiste et signe qu’il est possible d’organiser les élections au plus tard le 30 juin prochain.

Et pour participer à ces élections, le Rassemblement pose notamment comme préalables « la reconfiguration de la Centrale électorale, l’élaboration d’un budget des élections  assorti d’un plan de décaissement avec des rubriques  précises et claires », fait savoir pour sa part La prospérité.

Le président Kabila,  dont ce plateforme politique exige du reste  le départ à fin décembre 2017, ne doit ni se mêler, ni être mêlé à ce processus électoral, a écrit Pierre Lumbi Okongo, le Président du Conseil de sages du Rassemblement, dans un communiqué publié mardi, souligne le confrère.

La position de ces trois forces politiques face au calendrier proposé par la CENI contraste avec celle de l’opposition prenant part au gouvernement d’union nationale.

Dans une déclaration publiée mardi 7 novembre, les membres de cette aile de l’opposition affirment « prendre acte du calendrier électoral publié par la CENI et jugent réaliste ce chronogramme », rapporte de son côté L’Avenir.

Quant aux préalables soulevées par la commission électorale pour respecter ce chronogramme, ces opposants participant au gouvernement appellent à la tenue d’une tripartite entre la CENI, le Conseil national de suivi de l’accord (CNSA) et le gouvernement pour statuer sur ces contraintes soulevées, lit-on dans les colonnes du quotidien.

Alors que les leaders de l’opposition n’accordent pas leurs violons pour une position commune face au chronogramme proposé par la CENI, le président  Joseph Kabila de son côté a réuni les ténors du PPRD à Kingakati (un faubourg situé à l’extrême Est de Kinshasa) pour les instruire de se « préparer à gagner les élections », renseigne Cas-info.ca.

Le site web d’infos considère cette réunion de Kingakati comme une première réaction en « off » de Joseph Kabila depuis la publication le dimanche 5 novembre du calendrier électoral par la CENI.

En rapport avec cette réunion de Kingakati, Kinshasatimes.cd épingle la présence lors de cette rencontre du vice-président de la CENI, Norbert Basengezi.

Le site d’information en ligne estime que la participation de ce haut cadre de la CENI à cette réunion stratégique de Joseph Kabila et ses troupes est en contradiction avec l’article 21 de la loi organique de la CENI et le serment qu’il a prêté : « N’exercer aucune activité susceptible de nuire à l’indépendance, à la neutralité, à la transparence et à l’impartialité de la CENI».

De l’avis du site d’actualités, l’impartialité de la CENI a été entachée mardi à Kingakati.

 Avec radio Okapi

 

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Il y aura du monde à la prochaine présidentielle, prédit Le Phare, citant cinq candidats qui ont publiquement exprimé leurs ambitions : Dr Tshiani, Freddy Matungulu, Moïse Katumbi, Martin Fayulu et Alain-Daniel Shekomba.

Faisant allusion au délai avancé par le président de la CENI pour organiser les élections, le journal estime que «même si « Monsieur 504 jours » hésite encore et ne cesse de multiplier des obstacles destinés à justifier de nouveaux glissements, les Congolais lui envoient un seul message : les élections ! Rien que les élections !»

C’est dans cette optique que le face-à-face Jean-Pierre Bemba-Félix Tshisekedi à la Haye est confirmé, annonce La Prospérité. Félix Tshisekedi s’est gardé jusqu’ici de donner une date pour sa rencontre avec l’autorité morale du Mouvement de Libération du Congo ainsi que du Front pour le Respect de la Constitution, poursuit le journal. Mais, « il a certifié la convergence en cours et la certitude de son tout prochain déplacement vers les Pays-Bas ». Cette visite a pour objectif de «jeter des bases pour des actions par rapport aux enjeux du 31 décembre 2017. C’est le dernier virage», estime le quotidien. 

Sur ce même registre, l’éditorialiste du Forum des As soutient qu’après la visite en RDC de Nikki Haley, ambassadrice américaine à l’ONU, «l’heure de la vérité a sonné » au pays de Lumumba.

« La démarche de Washington, Paris et, plus globalement de la communauté internationale, n’en est que plus claire : les élections. Aux acteurs de s’assumer. A la CENI de jouer sa partition. Au Parlement d’apprêter les textes en rapport avec les élections. Au Gouvernement de mobiliser et décaisser les ressources. Aux compétiteurs politiques de se préparer », lance le tabloïd.

« Réchauffement de l’accord du 31 décembre 2016 : La CENCO attend l’appel de Kabila », titre pour sa part Le Potentiel. Comme en 2016, le président Kabila est face à son destin; celui de la RDC. Quelle voie va-t-il emprunter : la confrontation ou le sauvetage de la démocratie ? Quoi qu’il en soit, poursuit le journal, la CENCO, qui reste toujours attachée à l’Accord de la Saint Sylvestre, n’attend plus que le premier geste du chef de l’Etat pour réchauffer ce compromis politique de dernière chance si l’on veut éviter une hécatombe après décembre 2017.

 

Avec Radio Okapi

 

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Le tête-à-tête prévu ce vendredi entre Nikki Haley et Joseph Kabila intéresse la majorité des journaux parus le 27 octobre à Kinshasa.
 
Au cours de son entretien avec le président congolais ce vendredi au Palais de la nation, l’ambassadrice américaine aux Nations unies, Nikki Haley, va transmettre le message de Donald Trump à Joseph Kabila, annonce Le Potentiel. Toutefois dans l’opinion, poursuit le journal, l’on espère que  Washington pèsera de tout son poids pour contraindre Kinshasa à s’impliquer dans la voie qui mène à l’alternance démocratique. Heure de vérité, conclut le quotidien.
 
Le Phare renchérit en affirmant que cette visite prouve que les USA sont fort préoccupés par le retour de la stabilité politique et de la paix en RDCongo. «Et Washington ne voit d’autre voie de sortie que la mise en œuvre de l’accord du 31 décembre 2016, selon l’esprit et la lettre du dialogue piloté par la CENCO (Conférence Episcopale Nationale du Congo) qui prévoyait une cohabitation de 12 mois entre la Majorité Présidentielle et la véritable opposition représentée par le Rassemblement originel, au terme de laquelle devraient être organisées les élections présidentielle, législatives nationales et provinciales en séquence unique», soutient le tabloïd.
 
L’éventail de ses contacts est tellement large, estime le journal, qu’on peut penser que Nikki Haley tient à ramener à Donald Trump un paquet de renseignements susceptibles de l’aider à lever rapidement des options sur la nouvelle politique africaine des USA.
 
« Pour bien comprendre, Nikki Haley vient entendre…”, fait savoir Forum des As. En se rendant d’abord à Goma, poursuit le quotidien, Nikki Haley tenait à s’imprégner des réalités du terrain, au moment où son administration envisage la révision à la baisse de la contribution américaine à la MONUSCO.
L’éditorialiste du journal soutient qu’elle ne va pas réinventer la roue : «Elle dira et fera ce qui est connu. Elle renverra les Congolais à l’observance stricte de l’accord du 31 décembre 2016, libre à chacun de l’interpréter en fonction de ses convictions. Mais, sur le terrain où l’opinion congolaise l’attend, à savoir le schéma ’Transition Sans Kabila’, elle bottera en touche».
 
Pour sa part, L’Avenir estime que lors du face-à-face Joseph Kabila-Nikki Haley, «il ne s’agira pas d’un colonisateur et d’un colonisé. Le premier message, est celui de Trump, Républicain de son Etat, qui avait renversé les démocrates lors des dernières élections. Sachant que les Démocrates ont un très mauvais passé avec le régime de Kinshasa, Trump et Kabila ont intérêt à intensifier leur coopération».
 
Selon le plan économique, poursuit la quotidien, cette visite peut avoir pour but de contrer la percée de «la Chine qui l’emporte, en termes des échanges commerciaux avec la RD Congo. Peut-être que le message sera donné à Mme Haley afin d’encourager les investisseurs américains à venir investir en RDC. Ceci, après le départ de la firme First Quantum».
 
Braquage à Kinshasa
 
Dans un autre registre, Scooprdc.net évoque le braquage jeudi à Kinshasa, sous le titre : « Kinshasa : braquage à la Hollywood en plein jour au centre-ville ! » Un bureau de change et d’une dizaine de changeurs de monnaie ont été dévalisés, ce jeudi 26 octobre, en plein centre-ville à la Gombe. L’opération menée par un groupe d’hommes en armes venus à bord d’un véhicule volé s’est déroulée dans l’avant midi entre 9h00 et 9h30 sur l’avenue Mpolo Maurice. C’est l’artère perpendiculaire du Boulevard du 30 juin, en allant vers l’hôtel de ville à l’entrée de l’immeuble abritant Brussel Airlines.
 
« En effet, ces hommes armés ont surgi à cet endroit et ont emporté des sommes importantes d’argent, avant de prendre la fuite vers la route des Poids Lourds en passant par le Boulevard du 30 juin».
 
Selon Forum des As, ce qui s’est passé hier dans la commune de la Gombe, au centre-ville de la capitale congolaise, «n’à rien de particulier. C’est pratiquement toutes les deux semaines que les bandits tentent de dévaliser des banques et bien d’autres établissements commerciaux à Kinshasa».

 

Avec radio Okapi

 

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Les journaux kinois parus ce matin reviennent largement sur la visite de Nikki Haley en RDC.

Forum des As rapporte que l’ambassadrice des États-Unis aux Nations Unies recommande à la Commission électorale nationale indépendante (CENI) la publication du calendrier électoral pour des élections en 2018. Ce n’est qu’à ce prix que la RDC va retrouver une situation politique apaisée, note le journal.
 
Pour Nikki Haley, indique le quotidien, le manque d’élections favorise le viol des femmes, l’enrôlement des enfants dans les groupes armés et bien d’autres problèmes. Si les élections ne se tiennent pas en 2018, la RDC ne pourra compter sur un quelconque appui des États-Unis, conclut le journal qui reprend les propos de l’envoyée du président américain.
 
Le Potentiel ajoute un détail à cette déclaration de Nikki Haley et fait remarquer que pour les Etats-Unis, les élections doivent avoir lieu en 2018, ce n’est pas à la fin de 2018 mais plus tôt. A Kinshasa de s’aligner ou de se voir privé de tout soutien des Etats-Unis et de la communauté internationale, commente le tabloïd.
En parlant de 2018, poursuit le journal, l’envoyée de Donald Trump n’est pas rentrée dans le schéma de glissement dont se délecte la majorité au pouvoir qui s’accroche à tout prétexte pour prolonger le bail de son autorité morale à la présidence de la République. Selon Nikki Haley, la programmation électorale ne peut pas aller au-delà de 2018, élucide Le Potentiel.
 
Quand Nikki Haley ignore superbement Bruno Tshibala et Joseph Olengankoy, analyse Le Phare, elle lance un message précis à ceux qui soutiennent à bras le corps le tripatouillage de l’accord de la Saint Sylvestre. Pour Washington, poursuit le quotidien, cet accord n’est pas appliqué et il est  temps qu’il le soit. Concrètement, il s’agit de rétablir le nécessaire consensus sur la gestion de la période électorale, de mettre fin à la politique du fait accompli si chère à la mouvance présidentielle et à la CENI et de favoriser des relations de confiance entre parties prenantes à l’accord, conclut le tabloïd.
 
«CNN révèle la petite phrase de Nikki Haley sur Joseph Kabila : il est temps pour lui de s’en aller», titre pour sa part Cas-info.ca. Le site d’information reprend une information de CNN qui révèle la confidence de Nikki Haley à des journalistes qui l’accompagnaient dans ce premier voyage sur le continent.
 
Le Soft International rend compte, dans ses colonnes, de la surprise de Nikki Haley de voir «une opposition divisée et irréaliste». Elle a confié sa grande surprise de constater «une opposition sans leader», réclamant à tue-tête une «transition irréaliste sans Kabila», note le journal qui s’appuie sur les propos de Vital Kamerhe : «Divisés, nous allons faire le jeu de l’ennemi. Unis, nous vaincrons à coup sûr et franchirons ces obstacles qui renferment le peuple congolais dans un univers de misère», peut-on lire dans l’hebdomadaire.
 
L’autre sujet traité par les tabloïds kinois a trait à la sortie officielle de la plateforme Le Progressistes.

L’ancien Premier ministre Samy Badibanga Ntita a lancé samedi 28 octobre 2017 sa plateforme politique «Les Progressistes», renseigne Actualite.cd.
 
L’ancien président du groupe parlementaire UDPS et alliés occupe la position d’autorité morale de ce regroupement politique où l’on retrouve quelques anciens ministres du gouvernement Badibanga : Pierre Anatole Matusila (ancien ministre de l’Energie et des Ressources hydrauliques), Patrick Mayombe Mumbioko (ancien ministre de l’Agriculture, de la Pêche et de l’Elevage) et Fidèle Ntingu Bay (ancien ministre délégué auprès du Premier ministre), note le site.
 
L’accord du 31 décembre 2016 court inexorablement vers sa caducité, si d’ici le 31 décembre 2017, rien n’est fait pour l’amender, l’approfondir, l’améliorer ou  l’ajuster aux impératifs de la non-tenue des élections dans les délais convenus au Centre Interdiocésain, sous la férule des évêques catholiques, rapporte La prospérité qui reprend les propos de Samy Badibanga.  
 
Cette nouvelle crise, pourtant prévisible, ne peut être évitée que si et seulement si un addendum est négocié et signé, avant fin décembre 2017, dans la perspective de sauvegarder le socle du consensus consigné dans cet accord et de matérialiser, cette fois, le processus de sa mise en œuvre, propose Samy Badibanga Ntita.

Avec Radio Okapi

 

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L’ambassadrice des Etats-Unis à l’ONU, Nikki Haley, est arrivée mercredi après-midi à Kinshasa. Les médias congolais s’intéressent à cette actualité. Certains s’exercent à prédire le contenu de son message, et d’autres dévoilent son agenda et les personnes qu’elle va rencontrer. La presse revient aussi sur la position de la communauté internationale sur les incidents survenus à Lubumbashi, lors du récent séjour de Félix Tshisekedi.
 
Le Phare analyse l’arrivée de Nikki Haley et indique que le choix porté par le président américain sur sa personne est perçu comme l’expression du souci du président américain d’être pleinement et correctement informé des réalités du terrain, avant de décider de la suite à donner à la politique africaine au niveau de la Maison blanche.
 
En ce qui concerne la RDC, le pays de l’once Sam est d’avis que le peuple congolais devrait vivre, pour la première fois de son histoire, une alternance démocratique au sommet de l’Etat à l’échéance du 31 décembre 2017, le premier rendez-vous ayant été manqué en décembre 2016. Certains commentateurs de presse soutiennent que Nikki Haley, à l’image d’un certain Bill Richardson en fin de règne du Maréchal Mobutu, pourrait demander aux hommes au pouvoir à Kinshasa de s’impliquer résolument dans la tenue rapide des élections au risque de compromettre leur avenir politique et social, croit savoir le tabloïd.
 
Nikki Haley était la première à exiger de nouvelles sanctions ciblées contre les autorités congolaises. Au  Conseil des droits de l’homme de l’ONU, elle était aussi là, pour fustiger la position adoptée par les autres Etats membres qui, à la différence des USA et de certains pays européens, ont voté pour l’entrée de la RDC dans ce carré des As, renchérit La Prospérité.
 
Pour sa part Actualité.cd dévoile l’agenda de Nikky Haley et indique que dès ce jeudi, l’envoyée du président américain Donald Trump entamera des contacts avec certains officiels. Le média renseigne que la diplomate américaine se rendra ce même jeudi à Goma (Nord-Kivu) avant de rencontrer à Kinshasa le vendredi 27 octobre, le président de la République, le chef de la MONUSCO, Maman Sidikou, ainsi que le président de la Conférence épiscopale nationale du Congo (CENCO), Mgr Marcel Utembi.
 
Incidents à Lubumbashi
 
En dehors de la visite de Nikki Haley, la presse congolaise décortiquent aussi la récente visite de Félix Tshisekedi à Lubumbashi et la position de la communauté internationale sur cette question. A peine élue au Conseil des droits de l’Homme des Nations unies, la RDC a renoué avec ses vieilles méthodes de répression et de privation de libertés, regrette Le Potentiel qui s’appuie que le séjour à Lubumbashi, du président du Rassemblement, Félix Tshisekedi. Ce dernier, indique le journal, n’a pas échappé à la fougue du pouvoir qui lui a interdit de tenir son meeting.
 
Pour le tabloïd, «Kinshasa est déjà dans le viseur de la communauté internationale.» Dans les rangs de la communauté internationale, c’est l’indignation totale. Dans une déclaration commune, l’UE, les USA, la Suisse et le Canada sont montés au créneau. Toutes ces organisations se disent profondément préoccupées par les restrictions à la liberté de réunion imposées par le gouvernement de la RDC et les autorités locales.
 
«Nous regrettons particulièrement l’arrestation, le 22 octobre, de nombreux membres de l’opposition à Lubumbashi et appuyons l’appel de la MONUSCO à leur libération», lit-on dans cette déclaration.
 
Cette prise de position intervient à la veille de l’arrivée à Kinshasa de Nikki Haley, envoyée spéciale de Donald Trump, ajoute Forum des As, précisant que c’est sur un ton ferme que la délégation de ces organisations a manifesté son indignation face à la récente arrestation des partisans du Rassemblement à Lubumbashi.
 
De son côté L’Avenir s’interroge : «que cache l’attitude de l’UE, USA, Suisse et Canada ?» Le quotidien déplore l’attitude des diplomates de ces organisations qui feignent ignorer le contexte du pays, lorsqu’ils soulignent que l’interdiction de réunions publiques, la perturbation d’activités politiques pacifiques et les arrestations arbitraires sont incompatibles avec les normes démocratiques, en particulier la liberté de réunion et d’expression, que garantit la constitution congolaise.
 
Les chefs des missions européennes à Kinshasa, des Etats Unis,  de la Suisse et du Canada,  doivent savoir que la RDC est une jeune démocratie, qui n’est pas à confondre avec les vieilles démocraties françaises, américaines, anglaises, italiennes, explique le tabloïd.
 
Pour sa part Capsud.net reprend la déclaration du maire de Lubumbashi qui nie tout incident lors du séjour de Felix Tshisekedi. Dans un communiqué remis à la presse mercredi 25 octobre, le maire de la Ville de Lubumbashi, Jean Oscar Sanguza Mutunda, note qu’aucun incident majeur n’a été enregistré durant tout le séjour de Felix Tshisekedi et les militants interpelés par la police ont été libérés sans conditions, écrit ce média en ligne.

Avec Radio Okapi

 

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