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POLITIQUE

L'actualité Politique de la semaine en RDC

Plusieurs journaux parus ce mardi reviennent sur la conférence de presse tenue lundi par la famille d’Etienne Tshisekedi sur les obsèques de l’opposant historique.

L’Avenir note que la famille de l’opposant ne conditionne pas le rapatriement de la dépouille vers la RDC par l’application de l’accord de la Saint Sylvestre.

C’est donc « un souhait et non une obligation », souligne le quotidien qui cite « le pressenti Premier ministre », Félix Tshisekedi, « fils de son père, doublé du titre de secrétaire général adjoint en charge des questions diplomatiques et politiques de l’UDPS ».

Le journal indique que cette position est contraire à celle du « bouillant » Jean-Marc Kabund qui, voulait en faire trop au nom du parti dont il est encore secrétaire général.

Pour L’Avenir, le rapatriement de la dépouille d’Etienne Tshisekedi contre l’application de l’accord de la Saint-Sylvestre, considéré à tort comme testament politique (inachevé) de l’illustre disparu, est le chantage qu’exerceraient la famille et le parti de Tshisekedi sur le régime Kabila.

Forum des As estime, pour sa part, que Félix Tshisekedi a « levé l’équivoque ».

Intervenant pour le compte du parti lors de la conférence de presse de lundi à Bruxelles, écrit le journal, le secrétaire général adjoint de l’UDPS jure n’avoir jamais subordonné le rapatriement de la dépouille de son père à la mise sur pied d’un gouvernement issu de l’accord de la Saint Sylvestre.

Le tabloïd, qui se fie à une interview de Félix Tshisekedi à Top Congo, indique toutefois que la famille et le parti ont plutôt évoqué des raisons sécuritaires. Le tout se déclinant en termes des dispositions sécuritaires sans faille, afin de prévenir des débordements éventuels.

De son côté, Le Potentiel croit voir une convergence entre le parti UDPS et la famille Tshisekedi. « Obsèques de Tshisekedi. La famille et l’UDPS s’accordent », titre le quotidien.

Le rapatriement de la dépouille mortelle et l’organisation des obsèques d’Etienne Tshisekedi sont conditionnés par la « mise en œuvre effective » de l’Accord du 31 décembre et une éventuelle autopsie. Ce sont là quelques préalables posés par la famille Tshisekedi, renseigne le journal.

Ces conditions posées par le frère cadet d’Etienne Tshisekedi, Mgr Gérard Mulumba rejoint celle affichée auparavant par l’UDPS, par la bouche de son secrétaire général, fait savoir Le Potentiel.

Entre l’autopsie qu’exige, par ailleurs, la famille de Tshisekedi, et de profondes divergences autour de l’organisation de ses obsèques, le rapatriement de la dépouille du lider maximo n’est donc pas pour demain. D’autant que, entre le pouvoir en place à Kinshasa, la famille et l’UDPS, les violons sont encore loin de s’accorder.

« Autopsie, mausolée et garanties de sécurité exigés », écrit pour sa part La Prospérité.

La responsabilité des autorités congolaises est dans la suite à réserver à ces revendications, s’il faut, finalement, que Tshisekedi wa Mulumba, l’homme auquel l’on a reconnu toutes sortes de mérites en ce qui concerne, particulièrement, la lutte  pour la démocratie, l’instauration d’un Etat de Droit et le bien-être social, soit inhumé de façon telle que des générations et des générations l’adoptent, pour toujours, comme un vrai  modèle, ajoute le tabloïd.

 

Avec Radio okapi

 

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Douze jours après la disparition d’Etienne Tshisekedi, la question de sa succession commence à hanter les esprits, écrit Forum des As sous le titre : « Tshisekedi. Controverse autour de sa succession ». Le journal reprend la réflexion de l’analyste Omer Nsongo Die Lema qui pose ce problème de succession tant au sein de l’UDPS qu’au Rassemblement de l’opposition.
 
Omer Nsongo cité par Forum des As scrute l’article 27 des statuts de l’UDPS qui dispose : « qu’en cas de décès, de démission, d’empêchement définitif du président du parti, le président de la Convention démocratique du parti assume son intérim pour un délai ne dépassant pas 30 jours au cours desquels il est tenu de convoquer une session extraordinaire du Congrès en vue d’élire un nouveau président du parti ; élection à laquelle il ne peut faire acte de candidature ».
 
Or, douze jours après le décès du président du parti, personne ne sait qui anime la Convention démocratique du parti et personne ne sait qui doit assumer l’intérim du défunt, regrette Omer Nsongo que cite Forum des As. A la différence de l’UDPS, le Rassemblement « n’a ni statut, ni règlement intérieur », poursuit le journal.
 
« Sans président légal, ni statutaire. Les compteurs à zéro à l’UDPS », titre pour sa part La Prospérité.

Le quotidien reprend un autre exposé de M. Georges Kalema, analyste politique, qui examine, lui aussi, la suite des événements au sein de l’UDPS, après la disparition inopinée d’Etienne Tshisekedi wa Mulumba.
 
Il soulève aussi la problématique de l’article 27 et estime que « tout ce que ce parti entreprend depuis le décès d’Etienne Tshisekedi pourrait s’avérer illégal… »
 
« Tout le mal que se font les dirigeants de l’UDPS et de « Rassemblement » n’a qu’une explication : la non-application des statuts. Fait surprenant : ni à l’UDPS, ni au Rassemblement de l’opposition n’apparaît un seul esprit courageux pour dire la vérité […]. Tout le monde est saisi de peur. Peur de la rue. Or, la rue obéit au leadership », estime Georges Kalema.
 
Mystère à élucider renchérit L’Avenir qui s’appesantit sur le même article 27 des statuts du parti et titre : « Par l’article 27, l’UDPS est bloquée… ».

Le journal explique que la Convention démocratique du parti (CDP) est, aux termes de l’article 25 des statuts de l’UDPS, «un organe de concertation du parti» composé de députés nationaux et de sénateurs «élus sur la liste du parti», de «ministres et mandataires duparti», de la «présidence du parti», des «présidents des comités fédéraux» et des «présidents des conventions démocratiques fédérales».
 
Pour des raisons connues de tout le monde, l’UDPS n’a à proprement parler ni parlementaires (elle a désavoué 33 de ses 42 premiers députés élus librement depuis sa création en 1982), ni ministres, ajoute

L’Avenir qui note que si du vivant d’Etienne Tshisekedi, la non-opérationnalisation de la Convention démocratique du parti n’était pas préoccupante-à lui seul il était l’homme-orchestre, avec son décès survenu le 1er février, elle suscite des inquiétudes légitimes à la lumière des enjeux de l’heure : l’organisation des funérailles et les arrangements particuliers, écrit L’Avenir qui voit en cette question de succession du président de l’UDPS « un mystère à élucider ».
 
Dans un autre registre, Le Phare renseigne : « Mgr Mulumba et F. Tshisekedi parlent ce lundi à Bruxelles ».

A en croire des sources proches de la représentation de l’UDPS en Belgique et au Grand-Duché de Luxembourg, Mgr Gérard Mulumba, jeune frère d’Etienne Tshisekedi, et Félix Tshisekedi,  fils du défunt et secrétaire national aux relations extérieures du parti, animent une conférence de presse ce lundi [13 février] à Bruxelles pour livrer à l’opinion la position de «la famille et du parti quant à la suite des obsèques de l’illustre disparu».
 
Le journal croit savoir que les orateurs vont réaffirmer la position exprimée par le parti mercredi 8 février 2017 par la voix de son Secrétaire Général, Marc Kabund, à savoir que les obsèques d’Etienne Tshisekedi ne peuvent être organisées qu’aux conditions ci-après : la signature de l’Arrangement particulier en souffrance au Centre Interdiocésain, la mise en place d’un gouvernement de large union nationale dirigé par un Premier ministre désigné par le Rassemblement, la mise en place du Conseil National de Suivi de l’Accord du 31 décembre 2016, l’érection d’un mausolée pour le défunt au centre de la ville de Kinshasa, etc.

 

Avec Radio Okapi

 

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Les obsèques d’Etienne Tshisekedi continue de faire la une des journaux de la capitale congolaise. Le Phare titre en manchette : «L’UDPS se fâche». Le quotidien signale un blocage dans le programme d’organisation des obsèques de l’illustre disparu, alors que les contacts paraissaient fort avancés entre le gouvernement, la famille d’Etienne Tshisekedi et l’UDPS.

Le secrétaire général de ce parti, Jean-Marc Kabund-a-Kabund a fait état des préalables à remplir avant le rapatriement de la dépouille de son président national de Bruxelles à Kinshasa, note le tabloïd : la mise en place du gouvernement de transition issu de l’accord du 31 décembre 2016, l’érection d’un mausolée au centre-ville de Kinshasa ainsi que la prise en charge des funérailles par le gouvernement de large union nationale.

Le Potentiel s’interroge cependant sur l’attitude qu’affichera le gouvernement face aux préalables posés par l’UDPS. Et quoiqu’on dise, même mort, Etienne Tshisekedi continue à entretenir son mythe, pense le quotidien. Et contrairement à tout ce qui a distillé dans la presse, poursuit le quotidien, le rapatriement de la dépouille d’Etienne Tshisekedi, le lieu de ses obsèques et son enterrement sont encore entourés d’un grand mystère.

A l’UDPS, rapporte Le Potentiel, militants et sympathisants ont juré de raviver le mythe de leur président jusqu’au bout. A cet effet, Jean-Marc Kabund a invité la police nationale congolaise et les FARDC « à plus de responsabilité et de professionnalisme en laissant le peuple s’exprimer librement conformément à la Constitution et aux lois en vigueur». Autrement dit, ajoute le journal, l’UDPS n’est pas prête à recevoir des injonctions dans la manière de rendre hommage à son président.

L’Avenir pour sa part estime qu’en conditionnant l’arrivée de la dépouille d’Etienne Tshisekedi à la conclusion des pourparlers du Centre interdiocésain, l’UDPS se contredit. Pour le quotidien, l’arrivée de la dépouille de Tshisekedi ne devrait pas être subordonnée à l’application de l’accord de la Saint-Sylvestre car le retard que connait cet accord est imputable entre autres à l’UDPS et au Rassemblement qui ne parviennent pas à déposer une liste de plus ou moins cinq noms au chef de l’Etat pour que ce dernier fasse son choix sur le futur Premier ministre, juge le journal.

Le tabloïd regrette que l’UDPS et le Rassemblement veuillent à tout prix obliger Joseph Kabila a nommer le futur chef de gouvernement en ne lui proposant qu’un seul nom, niant ainsi son pouvoir discrétionnaire. Le journal redoute en outre que les mésententes au sein du Rassemblement ne puissent allonger les discussions même si les travaux du Centre interdiocésain reprenaient.

Dans le chapitre des hommages, La Prospérité cite le sénateur de la Majorité présidentielle Aimé Sessanga qui qualifie Etienne Tshisekedi de leader irremplaçable.

Selon le tabloïd, Aimé Sessanga regrette que le président de l’UDPS soit décédé au moment où le pays attendait beaucoup de lui en cette période où se tiennent des discussions directes entre signataires et non-signataires de l’accord du 18 octobre, à Kinshasa.

Avec Radio Okapi

 

 

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L’actualité reste encore dominée par les funérailles d’Etienne Tshisekedi, décédé le 1er février à Bruxelles (Belgique).

«Bruxelles: Une messe de requiem organisée en mémoire d’Etienne Tshisekedi », rapporte l’Avenir. Le tabloïd signale que plusieurs officiels belges, dont le vice-Premier ministre et ministre de la Coopération au développement, Alexandre De Croo, ainsi que l’eurodéputé Louis Michel ont pris part à ce culte.

Le journal signale également la présence de nombreuses personnalités politiques, religieuses, culturelles et autres venues de divers pays d’Europe, d’Amérique, d’Asie et d’Afrique se sont retrouvées en ces lieux pour rendre un dernier hommage au défunt président national de l’UDPS et du comité des sages du Rassemblement de l’opposition.

Au cours de cette messe, poursuit le quotidien, des condoléances particulières ont été présentées à la veuve Kasalu Jibikila Marthe, ainsi qu’à tous les enfants du grand opposant de la RDC.

Le Phare note que ce culte d'actions de grâce a permis à ceux qui n’ont pas eu l’occasion d’assister à la veillée mortuaire de communier avec les autres compatriotes.

C’est ainsi, rapporte le tabloïd, que la Basilique du Sacré-Cœur de Bruxelles, alias Koelkeberg pour les Bruxellois, a connu une affluence particulière et unique en son genre. Dès huit heures de la matinée, une foule inqualifiable et nombreuse a envahi les différentes entrées et les alentours de cette église pour assister au culte religieux en mémoire de feu Etienne Tshisekedi.

L’officiant du jour était l’Archevêque de Kinshasa le Cardinal Laurent Monsengwo qui a effectué expressément le déplacement de Bruxelles pour présider cette cérémonie religieuse.

En rapport avec les funérailles de l’opposant historique, Africa News cite Félix Tshisekedi qui revient sur la requête de l’UDPS d’ériger un mausolée pour Etienne Tshisekedi à Kinshasa.

Ce cadre de l’UDPS, rapporte le trihebdomadaire, demande aux autorités congolaises de faire diligence à cette demande de mausolée, «qui n’est pas une demande de la famille mais une demande du peuple parce qu’Etienne Tshisekedi est un patrimoine national».

Selon le journal, Félix Tshisekedi rappelle que tant que les conditions de sécurité ne sont pas remplies, «la dépouille ne rentrera pas au pays ».

« Nous ne voulons pas que le sang coule ce jour-là». Car «Etienne Tshisekedi était un homme de paix, son retour doit se faire dans la paix», a-t-il poursuivi au sortir de la messe de requiem au Basilique de Koekelberg à Bruxelles.

Sur une autre page, l'Avenir annonce que Moïse Katumbi rentrerait à Kinshasa avec la dépouille d’Etienne Tshisekedi. Selon le journal, l'ex-gouverneur du Katanga a annoncé son retour au pays lors de son arrivée à la Basilique de Koekelber, à Bruxelles, où se tenait la messe de requiem en la mémoire de Tshisekedi.

L’enthousiasme s’est vite emparé des partisans de Moïse Katumbi qui ont massivement partagé l’annonce de ce retour sur les réseaux sociaux. L’Avenir rappelle cependant qu’il n’est pas à sa première promesse de retour au pays.

« Moïse Katumbi à Kinshasa avec la dépouille de Tshisekedi », écrit pour sa part Le Potentiel en sa une. Le quotidien indique que Moïse Katumbi a décidé de braver la menace d’emprisonnement qui pèse sur lui et prépare son grand retour en RDC pour continuer son combat politique.

Interrogé sur sa sécurité, souligne le tabloïd, Moïse Katumbi déclare que le plus important est d’honorer le  vieux (NDLR : Etienne Tshisekedi). Pour Le Potentiel, l’ex-gouverneur du Katanga a levé l’option de s’engager dans la voie tracée par Etienne Tshisekedi qu’il considère comme le père de la démocratie congolaise.

Avec Radio Okapi

 

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La presse continue de s’intéresser au blocage des discussions sur la mise en œuvre de l’accord politique du 31 décembre 2016.

L’Avenir donne la parole au secrétaire général de la Majorité présidentielle, Aubin Minaku, pour qui on ne peut pas parler de blocage des discussions.

Pour M. Minaku cité par le journal, il n’y a pas blocage, il y a eu tout juste une difficulté par rapport à la gestion de l’agenda des membres de la CENCO qui devaient voyager pour Genève.

Au sujet des points de divergence entre le pouvoir et l’opposition, Aubin Minaku accuse le Rassemblement de faire preuve de mauvaise foi notamment sur la question de la désignation du Premier ministre.

« Nous avons noté qu’il y a une certaine mauvaise foi de la part du Rassemblement. Nous avons accepté que le Rassemblement nous présente que trois noms. Le Président de la République a un pouvoir de nomination  et lorsque la liste lui sera présentée, il va nécessairement consulter les leaders du Rassemblement », fait savoir le secrétaire général de la majorité présidentielle dans les colonnes de L’Avenir.

Pour sa part, Forum des As s’intéresse à l’autre question qui divise l’opposition et la majorité : le rôle de la Conférence épiscopale nationale du Congo (CENCO) pendant la transition.

« La CENCO doit-elle participer à la gestion consensuelle de la Transition en RD Congo ? », s’interroge le journal pour qui la « question est bien loin de faire l’unanimité ».

Si l’opposition politique qui a fait cette suggestion la soutient mordicus, la Majorité présidentielle (MP) elle, s’y oppose à haute et intelligible voix, fait savoir le quotidien.

A l’Opposition, on estime que la CENCO qui a piloté les pourparlers du Centre interdiocésain, a le droit de mandater ses représentants dans certaines institutions de la transition, notamment le Conseil national de suivi (CNSA).

La Prospérité, de son côté, tire l’attention sur le temps.

« Arrangements particuliers : le compte à rebours a commencé ! », titre le journal à la Une.

Alors que les politiques sont pris dans une spirale quasi infinie des discussions tant fructueuses qu’infructueuses, le pays agonise, écrit le journal.

La Prospérité fait remarquer qu’un jour sur les sept accordés par les évêques pour concilier les vues est déjà passé.

Pour le quotidien, les six jours restants devraient être capitalisés pour le bien supérieur de toute la République.

Bien d’observateurs espèrent que ce mardi 31 janvier, les dialogueurs lèveront l’option de revenir sur la table des discussions. Le temps file. Déjà un mois est perdu dans la course à l'organisation des élections, note le journal.

Pour sa part, Le Potentiel s’intéresse à la mission que les évêques ont récemment effectuée à Lubumbashi pour en savoir davantage sur le dossier judiciaire concernant Moïse Katumbi.

A en croire le journal, les évêques n’ont retrouvé aucune trace du dossier ouvert en juin 2016 contre l’ex-gouverneur.

Tous les services de l’Etat impliqués dans ce procès ont réservé une fin de non-recevoir aux sollicitations des délégués de la CENCO.

Le journal évoque des intimidations et menaces qui auraient été exercées sur ces services par des agents de renseignements agissant pour le compte de la majorité présidentielle.

« La mission de Lubumbashi s’est muée en un cauchemar », fait savoir Le Potentiel.

Moïse Katumbi a été condamné à trois ans de prison dans une affaire de spoliation immobilière.

Avec radio okapi

 

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