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POLITIQUE

L'actualité Politique de la semaine en RDC

D’après l’opposition congolaise, la passion dont a parlé le président de la République c’est celle de conduire le pays vers le chaos, notamment en faisant obstacle au processus électoral, renseigne Actualité.CD. C’est pourquoi, « l’opposition appelle le peuple congolais à mettre fin à la passion criminelle de Joseph Kabila pour le Congo, qui précipite le pays vers le chaos et à faire obstacle par tous les moyens ; y compris le recours à l’article 64 contre toute tentative de se maintenir au pouvoir en violation de la constitution et d’instaurer une nouvelle dictature dans notre pays», renseigne ce média en ligne, citant la déclaration commune des opposants signée après leur réunion de lundi à Kinshasa.
 
L’opposition a profité de l’occasion pour réitérer son exigence pour la libération des prisonniers politiques, poursuit le portail, le nettoyage du fichier électoral et contre l’usage de la machine à voter.
 
Tout en prenant le contrepied du discours du président, renchérit Forum des AS, l’opposition exige un processus électoral conforme à la Constitution. Dans ce document paraphé conjointement par les partis phares de l’opposition, les participants réclament « des élections crédibles, et apaisées, conformes à la constitution, à l’Accord du 31 décembre et aux résolutions 2348 et 2409 du Conseil de sécurité des Nations unies ». Ils appellent les Congolais à faire obstacle à tout processus électoral conduit de « manière unilatérale par le camp du président Joseph Kabila et basé sur la fraude ou organisé en violation des droits et libertés des citoyens », fait savoir le quotidien. 
 
A ce sujet, Le Phare titre : « Déclaration commune de l’opposition : le mal congolais, c’est Joseph Kabila ». Selon le journal, l’opposition congolaise, toutes tendances confondues, a « perçu le discours de Joseph Kabila comme un certificat d’autosatisfaction qu’il est attribué à lui-même dans un ‘Congo imaginaire’.  A l’instar de Jean de Dieu Nguz a Karl-i- Bond, qui affirmait que Mobutu était l’incarnation du mal zaïrois, les sociétaires de l’opposition considèrent Joseph Kabila comme le mal congolais. » En vue de l’extirper de l’environnement national, poursuit le tabloïd, ils ont pris l’engagement d’œuvrer ensemble, par des actions communes, pour lui imposer le respect de la Constitution.
 
« L’opposition fait bloc contre Joseph Kabila », note aussi Le Potentiel, ajoutant que « l’Opposition – la vraie, du reste, non affiliée au Front commun pour le Congo (FCC) – a pris le temps de retourner dans tous les sens le discours prononcé, jeudi 19 juillet dernier, devant le congrès par le président Joseph Kabila. » A l’unisson, l’Opposition a décidé de faire bloc contre le président Kabila et sa famille politique dans leur tentative de confisquer la démocratie congolaise, selon le journal.
 
A l’unanimité, les opposants considèrent que « Kabila est indubitablement dans la logique de coup de force après avoir instrumentalisé toutes les institutions de la République, procédé à une mise en place frauduleuse des membres de la Cour constitutionnelle, recruté et formé des milices politiques dévouées à sa cause au sein de son parti, et confié le commandement des Forces Armées et de la Police à des officiers généraux visés par des sanctions internationales », rapporte le tabloïd.
 
Pour sa part, L’Avenir soutient que l’opposition fait volte-face au sujet de sa participation aux prochaines élections. Quand il faut parler de la candidature unique de l’Opposition pour la présidentielle de décembre 2018, nul n’apparaît pour proposer le modus operandi, observe le journal. Malheureusement, poursuit-il, en République démocratique du Congo, n’est opposant que celui qui a l’« injure facile ».
 
Au cours de cette réunion de l’opposition congolaise, « c’est ce que toute l’opinion nationale comme internationale a vécu lors d’un rassemblement. Il s’agit des responsables des partis tels que l’UDPS de Félix Tshisekedi, représenté par son Secrétaire général Kabund ; l’UNC de Vital Kamerhe qui a délégué Baudouin Mayo ; Ensemble de Moïse Katumbi conduit par Sessanga, Lumbi et consorts ; le MLC de Jean-Pierre Bemba avec en tête Eve Bazaïba et la Dynamique de l’opposition que dirige Martin Fayulu », détaille le tabloïd, ajoutant que « cette opposition vient une fois de plus de décevoir le peuple et de prouver qu’elle n’est pas prête à aller aux élections ».

avec radio Okapi

 

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Les journaux de Kinshasa commentent largement le discours du Président Joseph Kabila devant le parlement réuni en congrès.

Le Président de la République a réaffirmé jeudi 19 juillet son engagement à respecter la constitution de la République qui demeure non équivoque et à organiser des consultations électorales nationales fixées en décembre prochain, dans son discours sur l’état de la Nation, rapporte L’agence congolaise de presse (ACP).
 
Ces élections, note l’agence, seront une affaire de souveraineté nationale et financées entièrement par le gouvernement de la République. « Ceci est un moyen de donner un sens à l’indépendance et à la dignité de la RDC. C’est pour cette raison que nous avons tenu à affranchir le processus électoral des contingences de financement extérieur et par conséquent des chantages de tous genres afin de créer des meilleures conditions pour notre peuple », rapporte l’ACP citant le chef de l’Etat congolais.
 
Ceux qui piaffaient d’impatience d’entendre Joseph Kabila Kabange prononcer la phrase qu’ils espéraient tant, doivent encore battre le pavé et s’armer de plus de patience, analyse de son côté Le Soft international. A moins d’une semaine du dépôt des candidatures à la présidentielle, poursuit le tabloïd, le chef de l’Etat n’a pas donné d’indication sur son avenir politique. Il a, au contraire, maintenu intacte sa ligne de communication déployée lors de sa dernière conférence de presse, le 26 janvier 2018, dans un discours de près d’une heure, à aucun moment, dévoilé aucune intention même si, en dressant le bilan de son règne, il n’en était pas loin, conclut Le soft.
 
L’oral du chef de l’Etat était estampillé comme le discours météo donnant le climat de la suite des événements sur la scène politique, ironise La Prospérité qui note que l’opinion reste ballotée dans des demi-certitudes pour le lendemain du Congo-Kinshasa, mieux pour le verdict de la problématique de la quête ou non d’un troisième mandat.
 
A côté de la plaque
 
Tout au long de ses 50 minutes de prestation devant le « Congrès », indique Le Phare, Joseph Kabila a superbement ignoré les questions lancinantes du dépôt ou non de sa candidature à la présidentielle de décembre 2018, du dauphin supposé fédérer les voix de la MP, et du FCC pour la bataille de la présidentielle, des mesures de décrispation politique, du recours à la machine à voter, de la restructuration de la CENI. Joseph Kabila a une fois de plus versé dans le flou en réaffirmant son engagement de respecter la Constitution et de maintenir le cap sur les élections, conclut le journal.
 
« Kabila à la Nation : J’y suis et j’y reste », titre Le Potentiel. Pour le quotidien, le président Joseph Kabila qui a dit vouer « une passion pour le Congo » n’est donc pas prêt à le céder à n’importe qui, au risque de détruire l’œuvre qu’il a bâtie depuis sa prise de pouvoir en janvier 2001.

Là où tous l’attendaient poser les jalons d’un processus électoral apaisé et inclusif, Joseph Kabila a plutôt pris la tangente, dans un air de j’y suis et j’y reste, conclut le tabloïd qui fait conclut que le discours de Joseph Kabila a été loin des attentes des Congolais.
 
Autosatisfaction
 
Le député Claudel Lubaya, président de l’Alliance des Mouvements du Kongo et de l’UDA Originelle, estime que Joseph Kabila a « manqué son dernier rendez-vous avec l’histoire » en se taisant sur son avenir politique dans son discours devant les deux chambres du parlement, rapporte Actualite.cd.

Plus virulent, Olivier Kamitatu a qualifié de « lamentable » le discours du Président de la République, rapporte Cas-info.ca. Outrageusement provocateur, Kabila s’amuse de l’accord de la CENCO et a confirmé devant une salle pétrifiée son mépris du peuple, note le site web.

Avec Radio Okapi

 

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Les journaux lus ce matin dans les kiosques de Kinshasa reviennent sur les travaux de la tripartite gouvernement-CENI-CNSA sur l’évaluation du processus électoral.
 
Face à une éventuelle dérive du processus électoral, le président du Conseil national de suivi et d’évaluation de l’accord du 31 décembre 2016 (CNSA), Joseph Olenghankoy, espérait rencontrer le président Joseph Kabila pour baliser la voie en vue des élections apaisées, rappelle Le Potentiel.

C’est finalement devant la tripartite, ouverte jeudi à Kinshasa, que Joseph Olenghankoy a déchargé toute sa colère autant sur la CENI que sur le gouvernement, explique le journal. Le président du CNSA a épinglé le risque de blocage d’un processus et a imputé au gouvernement et à la CENI, chacun dans sa sphère d’action, la responsabilité du retard dans la mise en œuvre de l’Accord politique du 31 décembre 2016, indique le quotidien.
 
Pour Le Phare, Joseph Olenghankoy n’a pas raté l’occasion de « tirer sur Tshibala et Nangaa ».  Le président du CNSA a usé de termes très durs dans son diagnostic de l’état d’avancement du processus électoral en RDC et a noté, sur un plan global, qu’on fait du sur place depuis plusieurs mois, rapporte le tabloïd.

Il a déploré le manque de consensus sur la machine à voter, boudée par une grande partie de la classe politique et de la société civile et a rappelé au président de la CENI le caractère corrompu du fichier électoral, poursuit le journal.
 
Au gouvernement, souligne La Prospérité, Joseph Olenghankoy a reproché le gel des mesures de décrispation politique consignées dans l’accord du 31 décembre 2016 pour garantir des élections inclusives et apaisées en République Démocratique du Congo.
 
L’Avenir de son côté épingle l’interpellation faite au gouvernement qui doit régler la question des cautions payées depuis 2015 pour les élections législatives provinciales et qui doit aussi dédommager des personnes victimes de l’intolérance des évènements du mois d’octobre 2016, à savoir les familles des victimes et des membres des partis politiques. 
 
Joseph Olenghankoy, a aussi exhorté le gouvernement à matérialiser « le vœu » émis à maintes fois par le chef de l’Etat Joseph Kabila pour le rapatriement de la dépouille d’Etienne Tshisekedi décédé depuis le 1er février 2017 à Bruxelles, renseigne Actualite.cd.
 
Trois commissions ont été constituées en vue d’analyser et de proposer des solutions aux préoccupations soulevées par le président du CNSA, note l’Agence congolaise de presse. Il s’agit des commissions chargées de la collecte des informations, du processus électoral et de la décrispation. L’ACP indique par ailleurs que la clôture de la tripartite interviendra samedi.

L’autre sujet qui intéresse les tabloïds kinois, c’est le dépôt des candidatures pour ceux qui vont participer aux législatives provinciales.

La date de clôture des dépôts des candidatures est fixée au dimanche 8 juillet, rappelle Forum des As qui note que la CENI fait savoir qu’il n’y aura aucune prolongation possible sinon elle impacterait négativement sur le reste des opérations préélectorales dont la date du 23 décembre pour la tenue des élections générales.
 
Dans presque toutes les provinces, fait remarquer le journal, il n’y a pas eu d’engouement autour des Bureaux d’enregistrement des candidatures presque deux semaines après le début de l’opération. La raison de ce désintérêt semble bien être le taux de la caution dont le montant est de 1000 USD par candidat désigné sur la liste électorale, suppose le tabloïd.

Le Président de la CENI Corneille Nangaa rappelle aux participants que son institution ne dépassera pas d’un seul jour le délai inscrit dans le calendrier électoral en ce qui concerne le dépôt des candidatures à tous les niveaux à savoir présidentiel, législatif national et provincial, indique L’Avenir.

Avec Radio Okapi

 

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La question de l’utilisation de la machine à voter au centre des débats lors de la tripartite CENI-CNSA-Gouvernement. A ce sujet, Le Phare affirme que le patron de la CENI est formel : « sans machine à voter… pas d’élections en 2018 » !

Corneille Nangaa a mis la classe politique devant un dilemme : soit elle accepte la machine à voter et les élections se tiennent dans le délai, à savoir le 23 décembre 2018; soit elle la rejette et les élections sont renvoyées sine die, indique le quotidien.

A en croire le président de la CENI, « loin de favoriser la tricherie, la machine à voter contribue par contre à l’accroissement de la transparence du vote et des opérations y relatives, et participe, de ce fait, à la consolidation de la démocratie », résume le tabloïd.

Dans son exposé, le président de la Commission électorale nationale indépendante (CENI), Corneille Nangaa, a appelé à la dépolitisation du débat sur la machine à voter, rapporte Actualité.cd

Corneille Nangaa dit s’étonner de « l’hostilité qu’une frange de l’opposition entretient, au nom de la population, contre l’usage de la machine à voter aux élections à venir », poursuit le média en ligne.

« Il est nécessaire que nous dépolitisions le débat. Il va falloir qu’on travaille dur pour obtenir l’adhésion de tout le monde. Il faut qu’il y ait un consensus dans la classe politique (…) », a déclaré le président de la CENI, qui insiste sur sa détermination à organiser les élections le 23 décembre prochain.
 
7sur7.cd reprend pour sa part l’interrogation de Corneille Nangaa en ces termes : « Qui a évalué pour dire que c’est la majorité [des Congolais] qui est contre [la machine à voter]» ?

« Il est bon de dire qu’il n’y a pas consensus sur la machine à voter parce que tel a dit à la radio que je suis contre. Mais tenez aussi compte de la majorité silencieuse qui ne passe pas à la radio. Et qui a évalué pour dire que c’est la majorité qui est contre. Avez-vous fait un référendum là-dessus », a demandé M. Nangaa, cité par 7sur7.cd.

Pendant ce temps, le Collectif de Jeunes Katumbistes (COJEKA) dit avoir déjà recueilli 20 000 signatures pour la pétition contre l’usage de la machine à voter aux élections du 23 décembre prochain, fait savoir Cas-info.ca. Pour ces jeunes de Lubumbashi, l’objectif est de récolter 1 million de signatures avant le mois décembre, ajoute ce média en ligne.
 
Le CLC, une menace ?
 
Si la machine à voter est maintenue, si le fichier électoral est maintenu tel quel, si le président Kabila se représente, le Comité laïc de Coordination (CLC) annonce des manifestations publiques, rappelle L’Avenir, qui indique que l’ultimatum de ce mouvement expire le 8 août prochain.

Et le journal de s’interroger : « faut-il s’attendre à une guerre de missiles entre le CLC et le Front commun pour le Congo (FCC)? Faut-il craindre une nouvelle escalade de violence dans les rues de Kinshasa ?»  
 
Kajepa Molobi, une plume de la Majorité présidentielle, lance un sévère avertissement au CLC : « La sagesse la plus élémentaire nous apprend que l’on peut savoir qui, comment et quand commence une guerre, mais personne ne sait ni quand, ni comment et ni à quel prix elle se termine. La paix chèrement acquise mérite qu’on la préserve », déclare-t-il à L’Avenir.
 
« De plus, ce chantage mal venu relève d’une provocation sans intérêt pour le peuple congolais », renchérit Forum des As, citant Kajeba Molobi.
À ce jour, non seulement la CENI a publié le calendrier électoral mais toutes les étapes suivantes sont rigoureusement respectées, estime cet analyste.
 
Sur un autre registre, La Prospérité annonce que c’est ce jeudi 12 juillet que s’ouvre au centre catholique Nganda, à Kintambo, le congrès du MLC.
Ces assises devront se terminer demain 13 juillet, sauf imprévu. Ce congrès devra se tenir sans le Chairman Jean-Pierre Bemba toujours en Belgique, aux dernières nouvelles. A défaut d’être là physiquement, il se peut qu’il parle via une vidéo conférence ou une lettre à ses militants.

Avec Radio Okapi

 

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Les journaux parus à Kinshasa commentent le vote au Congrès américain d’une loi spécifique relative à la crise congolaise et qui vise à décourager ceux qui veulent torpiller le processus électoral.
 
Présenté par le Sénateur Smith, rapporte Le Phare, ce texte contient des exigences relatives à la tenue impérative des élections présidentielle, législatives nationales et provinciales le 23 décembre 2018 ainsi qu’à leur caractère libre, démocratique et transparent.

Selon le quotidien, cette loi prévoit également des sanctions judiciaires et financières contre des responsables politiques et militaires mais aussi des éléments de l’armée, de la police et des services spéciaux qui seraient épinglés comme commanditaires ou auteurs d’actes de nature à entraver le processus électoral et à porter atteinte aux droits de l’homme.

Il y est indiqué que des poursuites judiciaires pourraient être engagées contre eux et au pire, leurs biens et avoirs confisqués, précise le tabloïd.
 
« Elections en RDC : forte pression du congrès des USA sur Trump », titre pour sa part Le Potentiel. Face à la volonté de principaux dirigeants congolais de bloquer le processus électoral par toutes sortes de subterfuges, indique le journal, les parlementaires américains ont visiblement opté pour la méthode forte pour dégager la voie vers la voie de l’alternance démocratique.

Si la tenue des élections est prévue pour le 23 décembre 2018, le Sénat américain estime que ce n’est pas une raison pour les États-Unis de relâcher la pression sur Kinshasa qu’il soupçonne de tout mettre en œuvre pour torpiller la suite du processus électoral, conclut le quotidien.
 
Les tabloïds kinois s’intéressent aussi, à la signature, lundi 2 juillet, de la charte du Front commun pour le Congo (FCC).
 
Parmi les nouveaux signataires de cette charte, L’Avenir cite l’Alliance pour l’Avenir (AA/A) conduite par Pius Muabilu, les regroupement PPRD et Alliés, l’AFDC et Alliés, le G18 et Alliés, la Coalition des démocrates, l’Avenir du Congo, l’Action dans l’unité de Didace Pembe, la CCU et Alliés de Lambert Mende, …Cette étape de signature de la charte se poursuit, renseigne le journal.
 
Pour Le Potentiel, à travers ces nouvelles signatures, c’est la famille politique du président de la République qui s’élargit dans la logique du devoir de solidarité des uns vis-à-vis des autres pour aller aux prochaines élections en rangs serrés.

À l’évidence, note le journal, la création du FCC est la confirmation que les derniers opposants à avoir accepté de rejoindre le camp Kabila, ont été définitivement peints aux couleurs de la majorité présidentielle.
 
Forum des As précise que 15 regroupements et partis politiques ont adhéré à cette plateforme électorale.

Selon le journal, l’engagement du secrétaire permanent du PPRD Ramazani Shadary, vient couper court à la rumeur selon laquelle, un haut cadre de ce parti politique aurait déclaré que le PPRD ferait cavalier seul lors des prochaines élections. Ce qui pousse La Prospérité à titrer : « Pas des rififis à la MP. FCC : le PPRD embarqué ». 

Avec Radio Okapi

 

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